Syrie : les incertains pourparlers de Genève
Représentants de l'opposition et du régime entament des négociations indirectes qui pourraient durer six mois.
Deux ans après une première tentative infructueuse, opposants et régime syriens se retrouvent une nouvelle fois à partir de lundi à Genève pour tenter, sous l'égide de l'ONU, de mettre un terme à plus de cinq ans d'une guerre qui a coûté la vie à plus de 260.000 personnes et provoqué le déplacement de millions d'autres. Les espoirs sont minces tant la méfiance est grande entre protagonistes et parrains du conflit. «On a réservé des salles différentes pour que des négociations indirectes puissent être lancées», confie un diplomate onusien impliqué dans les préparatifs.
L'opposition [...] a prévenu qu'elle quitterait les discussions si le régime poursuivait ses « crimes »Concrètement, les représentants du régime, avec à leur tête l'ambassadeur syrien à l'ONU Bachar Jaafari, seront dans une pièce. Dans une autre, la délégation de l'opposition soutenue par l'Arabie saoudite, la Turquie et la France notamment. Enfin, une troisième délégation, composée d'autres opposants considérés comme proches de la Russie, occupera une dernière salle. L'émissaire spécial de l'ONU pour la Syrie, Staffan de Mistura…
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joselito
le
Je ne vois pas de Kurdes dans l'article , sont t il exclus ?
Christiane Debrabant
le
Que les parrains d'une opposition syrienne fabriquée de toutes piècs, soit la France, -les USA, la Turquie et l'Arabie Saoudite grands pourvoyeurs de Deach- soient parties prenantes des négociations démontrent l'hypocrisie patente et la pantomime de ces négociations.
Tous coupables !!!
http://maximechaix.info/?p=1770